En effet, Kaïs Saïed, le président de la Tunisie, a fustigé mardi, lors d’une réunion du Conseil de sécurité nationale, les « hordes de migrants clandestins » venus d’Afrique subsaharienne qui veulent selon lui « changer la composition démographique de la Tunisie ». Dans son discours, le président a également associé les migrants au crime et à la délinquance. Des propos qui offusquent l’opinion internationale.
Par ailleurs, le député de l’opposition a dénoncé les « licenciements arbitraires » par la compagnie sucrière sénégalaise (CSS) dont 52 travailleurs ont été victimes. Il déplore aussi la situation sur le refus depuis 02 ans par EMAAP industries de Baba Diaw Itoc de respecter une décision de justice qui l’oblige à payer ses travailleurs auxquels il devait 8 mois d’arriérés de salaire et qu’il a licencié arbitrairement ».