Selon le journal Bes bi, la société chinoise, « expose les travailleurs à des risques et dangers graves résultant d’un défaut et d’une absence de protection collective et individuelle ayant entrainé, en premier lieu, la survenance d’un accident de travail mortel. » Et la dépouille, extraite du chantier « en catimini », aurait été inhumée « sans aucune déclaration des circonstances » de l’accident au niveau des services dédiés.
Mort d’ouvriers, doigts coupés, pieds piétinés par des véhicules…
En résumé on note dans ces travaux, un mort d’ouvriers, doigts coupés, pieds piétinés par des véhicules, L’inspecteur régional du travail de Fatick dans son rapport révèle « une succession d’autres accidents de travail occasionnant le sectionnement de membres d’un nombre importants de travailleurs. » Des ouvriers de l’autoroute subissent des traitements inhumés et leur sort est laissé entre les mains des sous-traitants de l’entreprise comme Henan-Chine et autres, se retrouveront avec « des doigts coupés », entre autres séquelles.
Pour rappel, une mise en demeure avait été servie à l’entreprise chinoise. C’était avant le 28 octobre dernier, lorsqu’un travailleur coffreur, du nom d’Ibrahima Mbaye, perd une partie de son doigt dans un accident de travail sur le chantier de l’infrastructure », sans équipement de protection individuelle.