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Une araignée géante et rare découverte en Australie
D’après les scientifiques, l’araignée a perdu une énorme partie de son habitat à cause du défrichement. Ils ont par ailleurs estimé que c’est ce qui explique que l’espèce est probablement en voie de disparition. Notons que cette découverte intervient quelques semaines après que des scientifiques ont découvert de nouvelles espèces d’araignées en Israël.
Une grande découverte a été faite par des chercheurs australiens. En effet, dans un communiqué publié par plusieurs scientifiques du Queensland Museum, il est indiqué qu’une espèce d’araignée géante a été découverte. À cause de ces caractéristiques, l’animal a été nommé Euoplos Dignitas. L’araignée a été découverte par les chercheurs dans le centre de l’État du Queensland, dans le nord-ouest de l’Australie. Selon les informations rapportées par le média américain, l’animal vit spécialement dans le centre du Queensland. Toujours selon les chercheurs, il vit dans les milieux boisés ouverts et construit ses terriers dans les sols noirs.
De nouvelles espèces découvertes en Israël
D’après les scientifiques, l’araignée a perdu une énorme partie de son habitat à cause du défrichement. Ils ont par ailleurs estimé que c’est ce qui explique que l’espèce est probablement en voie de disparition. Notons que cette découverte intervient quelques semaines après que des scientifiques ont découvert de nouvelles espèces d’araignées en Israël. Selon les informations rapportées par la presse britannique, ce sont des chercheurs de l’université hébraïque de Jérusalem et de l’université de Wisconsin-Madison, qui avaient fait la découverte. Leur étude, publiée dans la revue scientifique Molecular Phylogenetics and Evolution et relayée par le média Phys.org, avait indiqué que ce sont, au total, sept espèces différentes d’araignées qui avaient été découvertes.
Le média avait précisé que ce sont des araignées en toile en entonnoir qui avaient été découvertes. Ce type d’araignée ne vit que dans les troglodytes. Ces animaux ont notamment pour caractéristiques de vivre dans des zones où le calcaire est présent en grande quantité et où il n’y a pratiquement pas de flore. Selon les précisions d’Efrat Gavish-Regev, chercheur de l’université hébraïque et l’un des responsables de l’étude, « l’un des résultats surprenants de l’étude montre que les nouvelles espèces sont, du point de vue de l’évolution, plus proches des espèces des grottes des régions méditerranéennes du sud de l’Europe, que des espèces vivant à proximité de celles-ci à l’entrée des grottes en Israël ».