AUTOMOBILE
Grand-père désespéré»: Medvedev charge Biden
L’ancien président russe, Dmitri Medvedev, a exprimé mardi sa réaction à l’annonce de la candidature de Joe Biden pour la présidentielle de 2024 en le qualifiant de « grand-père désespéré » et de « sénile ». Entre les Etats-Unis et la Russie ce n’est pas le parfait amour depuis plusieurs années. Et avec l’offensive lancée par la Russie au cours de l’année dernière en Ukraine, les relations se sont fortement dégradées. Le locataire de la Maison-Blanche ne manque aucune occasion de critiquer son homologue russe. Dans ce contexte tendue, on peut dont imaginer que toute information relative au numéro un américain peut susciter des réactions en Russie. La récente annonce de candidature de Joe Biden qui veut briguer un deuxième mandat à 80 ans aujourd’hui ne laisse pas indifférente certaines autorités russes. C’est le cas de l’ancien président Dmitri Medvedev, qui occupe un rôle important dans l’actuel dispositif de Poutine qui s’est moqué du numéro un américain.
L’ancien président russe, Dmitri Medvedev, a exprimé mardi sa réaction à l’annonce de la candidature de Joe Biden pour la présidentielle de 2024 en le qualifiant de « grand-père désespéré » et de « sénile ». Cette déclaration de Medvedev reflète l’hostilité croissante envers les Etats-Unis depuis le conflit en Ukraine, qui a exacerbé les tensions entre l’Occident et la Russie. «Biden a pris sa décision. Un grand-père désespéré», a écrit l’ancien président Dmitri Medvedev sur l’application russe Telegram.
Medvedev, qui est également le numéro deux du Conseil de sécurité russe, a poursuivi en disant : « Si j’étais à la place de l’armée américaine, je créerais immédiatement une fausse valise avec de faux codes nucléaires au cas où il gagnerait [l’élection], afin d’éviter des conséquences irréparables« . Joe Bidena annoncé hier mardi sa candidature à la présidentielle de 2024, une nouvelle qui a été accueillie avec des réactions mitigées dans le monde entier. Si Biden parvient à être le candidat du parti démocrate, il affrontera à nouveau son rival républicain, Donald Trump, qui lorgne également le bureau ovale.