Selon le Quotidien, les caméras de surveillance sont en train d’être visionnées pour trouver des indices. « Cette affaire va être tirée au clair parce qu’il faut situer les responsabilités. Après, on verra pour les sanctions et autres », a assuré le directeur général de la Senter, Abdou Ndéné Sall.
Dans la matinée du mercredi 12 avril, vers 5 heures du matin, un blocage du Ter a été constaté avant que la situation ne revienne à la normale. En effet, seuls 3 trains sur 15 roulaient. Les travailleurs protestaient contre le licenciement de Maty Gningue, assistante Managers de la direction maintenance et matériel roulant à la SETER.
Lors du mouvement d’humeur, des « actes de sabotage» et de « malveillance» ont été notés, avec «la disparition» de clés de rames.