« Quand un homme politique, que ça soit au Sénégal ou dans le monde, est confronté à une situation difficile que ses adversaires veuillent en tirer profit, c’est logique. C’est en politique », a-t-il répondu au journaliste qu’il lui a posé la question sur les affaires politico-judiciaires de Sonko.
Le leader de Pastef (parti d’opposition), et candidat déclaré à la présidentielle de 2024, Ousmane Sonko a été condamné en appel le 8 mai, à 6 mois de prison avec sursis pour « diffamation et injures » contre le ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang. Une condamnation qui, confirmée par la Cour suprême, pourrait l’empêcher d’être candidat.
Son dossier pour viols et menaces de mort présumés, après le renvoi le 16 mai, devrait être appelé à nouveau à la barre mardi 23 mai devant la chambre criminelle. Mais Sonko a toujours crié complot et accusé le pouvoir de vouloir l’éliminer de la présidentielle de 2024.