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ALI ET LE « BAISER FORCÉ »

Ali et ses 40 voleurs de résultats croyaient donc pouvoir récidiver. Aller encore plus haut que le Haut-Ogoué. Il ferme tout, déconnecte tout. Après ce couvre-feu, c’est libre ville pour les Gabonais. Ali n’est pas un gars bon. Ce baiser forcé -pas celui de Rubiales- mais de la Constitution lui a été fatal. Des résultats proclamés à des heures de crime… Mais un crime n’est jamais parfait. Et après, Ali appelle à faire du bruit. Le Sénégal pourrait faire une intervention, pas militaire, mais de « soldats » des casseroles pour rétablir le président déchu, déçu. Un message en anglais et on ne sait même pas si l’accent est nigérian ou gabonais. Pierre Péan pourra trancher.

 

 

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