Les enquêteurs avaient également prélevé des échantillons pour déterminer la possibilité d’une agression sexuelle. Les résultats, rapportés par Les Échos, écartent cette hypothèse : « Le médecin légiste n’a trouvé aucune trace de sperme dans les parties intimes » de la victime.
L’exploitation du téléphone de la défunte par la Division des investigations criminelles (Dic) a révélé une relation sentimentale entre la victime et le suspect, confirmée par des échanges de messages écrits et audios. Cependant, le journal confie sur certains de ces messages semblent avoir été effacés du téléphone du présumé meurtrier.
Le principal suspect, le colocataire F. Soumah, a été trouvé près du cadavre et a été placé en détention provisoire après la découverte d’un foulard taché de sang dans sa chambre. Une information judiciaire a été ouverte pour approfondir l’enquête avant que le dossier ne soit remis à un juge. L’enquête est en cours.