SOCIETE

Difficultés dans la commercialisation de l’oignon : les producteurs de Diagambal interpellent les nouvelles autorités

confrontés à de sérieux problèmes. Et le principal, en ce moment, est  l’écoulement  de leurs produits.  Et pourtant, la fête de la Tabaski qui se profile à l’horizon devrait leur permettre de retrouver de l’espoir. Mais que nenni! Dans toutes les zones de production d’oignon l’heure est à l’angoisse. Les paysans ne savent plus à quel Saint se vouer. Désemparés, ils n’ont que leurs yeux pour pleurer. Car c’est le fruit de tout un labeur doublé d’un investissement financier et physique qui risque de partir en l’air.

Après les producteurs de Potou, Mboro, Richard Toll, c’est au tour de ceux du village de Diagambal  dans le bas delta de la vallée du fleuve Sénégal, précisément à 50 km de Saint-Louis près de Ross Béthio de faire part de leur inquiétude. Ils ont organisé hier dimanche un point de presse au village de Diagambal pour alerter les autorités. Dans ce village de près de 3000 âmes, les habitants vivent, principalement, du maraîchage.

En effet, ils interpellent le nouveau régime afin de trouver une solution rapide et efficace à leur problème. Pour ces producteurs, il est temps que l’Etat du Sénégal trouve une bonne fois pour toute une solution à ce problème qui revient chaque année.

Articles du même type

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Close