Dans ce contexte que le Rassemblement des entreprises des Tic (RESTIC) encourage l’initiative d’un fiscalité nationale et locale des services du numérique qui cible l’activité et les services des GAFAM dans nos économise, l’invasion et l’évitement fiscales des GAFAM fait perdre au continent 4% du PIB de tout le continent soit 12 milliards de dollars annuels.
Pour l’association « L’imposition ou la fiscalisation adéquate des GAFAM permet d’accélérera la lutte contre la pauvreté avec des programmes d’inclusion financière et numérique en Afrique ou 400 000 0000 d’africains vivent dans l’extrême pauvreté notamment en Afrique au Sud du Sahara. »
Ainsi au Sénégal une taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) sur les activités numériques sera appliquée des le 1er juillet 2024 pour élargir l’assiette fiscale et renforcer la mobilisation des ressources internes.
La fourniture de biens et services immatériels via des réseaux informatiques et/ou électroniques, sera désormais soumise à la TVA. Les entreprises locales et les fournisseurs étrangers qui utilisent les canaux numériques et digitaux pour offrir des services numériques dont les GAFAM. L’accent sera mis sur les plateformes de commerce électronique et l’intermédiation dans le paiement électronique.
Le RESTIC demande à l’état de mieux veiller à une fiscalité calibrée aux entreprises innovantes : les startups et d’encourager l’essor des finetechs pour l’inclusion financière des femmes et jeunes.