SOCIETE

Recrudescence de cas de cambriolages à Mbandaka

Maison communale de Mbandaka. Radio Okapi/Ph Blaise Makasi

Des cas de cambriolage se multiplient chaque nuit à travers plusieurs quartiers de la ville de Mbandaka (Equateur). Des témoins affirment que des hommes munis d’armes à feu et d’armes blanches envahissent des parcelles. Ils pillent, torturent, voire violent des femmes.

Le dernier cas en date s’est passé au quartier Bokotola, ou une locataire a été victime de vol à main armée, la première nuit même de son aménagement.

« La nuit, plus de 30 bandits Kuluna ont fait irruption chez moi, ils ont cassé la porte. Nous n’avons pas pu appeler la police puisqu’ils nous ont ravi tous les téléphones. Il était zéro heure vingt. Ils ont emporté tout l’argent et tous les biens qu’ils ont pu. Un panneau de 200 watts, un gros téléviseur, une chainette en argent pur, numéro huit, avec une grande médaille. Ils ont aussi emmené deux grosses batteries, ainsi que de l’argent dans le sac, avant de disparaitre. Mais ils ont abandonné les fauteuils. L’un des assaillants a indiqué à l’autre que nous n’étions pas leur principale cible. Je n’ai identifié personne, mais il s’agit de jeunes gens en cagoules », témoigne-t-elle.

La victime dit avoir tout perdu. Elle sollicite l’assistance des autorités pour reprendre ses activités.

Elle regrette toutefois que les malfrats, une fois arrêtés et emprisonnés, soient aussitôt libérés et reviennent toujours maltraiter la population.

La nuit de lundi à mardi dernier, un voleur appréhendé au quartier Bongodjo a été victime de vindicte populaire, pourtant interdite par la loi. Le reste de son corps incinéré a été enterré par la Croix-Rouge.

Des cas de cambriolage se multiplient chaque nuit à travers plusieurs quartiers de la ville de Mbandaka (Equateur). Des témoins affirment que des hommes munis d’armes à feu et d’armes blanches envahissent des parcelles. Ils pillent, torturent, voire violent des femmes.

Le dernier cas en date s’est passé au quartier Bokotola, ou une locataire a été victime de vol à main armée, la première nuit même de son aménagement.

« La nuit, plus de 30 bandits Kuluna ont fait irruption chez moi, ils ont cassé la porte. Nous n’avons pas pu appeler la police puisqu’ils nous ont ravi tous les téléphones. Il était zéro heure vingt. Ils ont emporté tout l’argent et tous les biens qu’ils ont pu. Un panneau de 200 watts, un gros téléviseur, une chainette en argent pur, numéro huit, avec une grande médaille. Ils ont aussi emmené deux grosses batteries, ainsi que de l’argent dans le sac, avant de disparaitre. Mais ils ont abandonné les fauteuils. L’un des assaillants a indiqué à l’autre que nous n’étions pas leur principale cible. Je n’ai identifié personne, mais il s’agit de jeunes gens en cagoules », témoigne-t-elle.

La victime dit avoir tout perdu. Elle sollicite l’assistance des autorités pour reprendre ses activités.

Elle regrette toutefois que les malfrats, une fois arrêtés et emprisonnés, soient aussitôt libérés et reviennent toujours maltraiter la population.

La nuit de lundi à mardi dernier, un voleur appréhendé au quartier Bongodjo a été victime de vindicte populaire, pourtant interdite par la loi. Le reste de son corps incinéré a été enterré par la Croix-Rouge.

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