« Nous ne voulons pas voir les conducteurs de motos de Kaolack, maison mère des vélos-taxis au Sénégal, entrer en confrontation avec les forces de l’ordre. Ils doivent reconnaître les bienfaits de cette initiative de l’État et l’accepter positivement. L’organisation de notre secteur est une avancée à saluer. Manifester dans les rues pour exprimer sa colère n’est pas la solution », a déclaré Assane Djigal.
Il a également exhorté l’État à prolonger les délais d’immatriculation des deux-roues, estimant que la période de trois mois est insuffisante.
« Nous exigeons à nos collègues de rester calmes et invitons l’État à revoir les délais pour permettre à tous de régulariser leurs situations. Les services des Mines ont d’autres responsabilités, et les chefs de services régionaux doivent mieux s’organiser pour gérer efficacement cette opération », a-t-il plaidé.